Samedi 14 novembre 6 14 /11 /Nov 19:55

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Nous, les esprits sylvestres, sommes les êtres pensants les plus pacifiques du monde. Les forêts que nous habitons sont vastes et reculées des terres des hommes. Nous vivons des siècles, en symbiose avec la forêt. Nos fruits nourrissent toutes les espèces de mammifères, qui en retour nous assurent la pollinisation de nos fleurs.

            Mais les humains sont des êtres curieux de nature, et un jour, l’une d’eux s’aventura jusqu’à moi, au fond du bois dont j’étais le gardien.

            Je la vis avec ravissement s’approcher de moi. Elle scruta les arbres autour d’elle, s’assurant d’être seule, et se dévêtit pour ne pas mouiller sa robe légère dans l’eau du ruisseau. Je la regardai s’ébattre dans l’onde claire. Les courbes gracieuses et souples des mammifères étaient un véritable plaisir à contempler.

            Puis la jeune humaine ressortit de l’eau et s’allongea sur le tapis de mousse tout contre moi. Le soleil chaud sécha sa peau nue alors qu’elle s’assoupissait. Sa confiance en la forêt était touchante et je me réjouis de cette douceur naïve et pure.

Lorsqu’elle fut tout à fait endormie, je descendis lentement mes lianes jusqu’à elle et j’étreignis délicatement ses poignets, ses cuisses et ses chevilles. Elle eut d’abord de petits mouvements vagues pour me chasser, comme si j’étais un insecte. J’affermis ma prise sans lui faire mal, simplement pour la tenir et elle se réveilla finalement.

Elle poussa un premier cri faible en comprenant qu’elle était captive et j’abaissais d’autres lianes jusqu’à elle pour la rassurer de caresses tendres sur les zones sensibles de son corps : son visage, son ventre et ses cuisses. Elle tenta d’abord de se débattre avec un affolement adorable, et puis, comprenant que je n’allais pas la blesser, elle se calma peu à peu.

J’enroulais une liane plus puissante autour de son ventre, et d’un seul mouvement précautionneux, je la soulevai pour l’attirer à moi. Je sentis son cœur s’emballer sous sa peau, elle battit des paupières, respira plus vite et je l’immobilisai à hauteur raisonnable pour qu’elle soit en sécurité loin du sol et plus facile à manipuler. Je l’allongeai sur le dos, les jambes un peu repliées, et écartai doucement ses cuisses. Elle résista d’abord mais je parvins avec des mouvements lents mais fermes à la placer dans une position idéale.

Elle avait comme toutes les femelles humaines, une fleur rose qui plongeait dans le creux de son ventre. D’une liane souple, j’approchai de sa fleur et en caressai les pétales extérieurs. Elle commença d’abord à s’agiter et à se débattre, mais à force de caresses douces, elle se relâcha finalement dans mon étreinte.

Sa peau était chaude et douce comme un fruit resté au soleil. Je frottais ses cuisses, ses mamelles rondes, et le bouton rose de sa fleur humide. Elle demeura d’abord rigide et tendue, et tirai régulièrement sur mes lianes pour que je la lâche. Mais les bruits qu’elle produisait changèrent peu à peu. Ils se firent presque plaintifs, c’était des geignements doux et des halètements de petit animal. Elle écarta les jambes d’elle-même, sans que j’aie à l’y contraindre et sa température augmenta délicieusement.

J’approchai l’une de mes propres fleurs femelles et je la frottai doucement contre la sienne pour y répandre mes spores. Elle soupira et ferma les yeux. Je déroulai le pistil de ma fleur et le glissai doucement dans la sienne. Son ouverture était mouillée et tellement étroite que je devinai qu’aucun mâle ne l’avait encore prise. C’était d’ailleurs très surprenant, car bien qu’elle paraisse encore jeune pour un mammifère, ses organes étaient parfaitement fonctionnels et elle était en âge de procréer. Il était étrange qu’elle n’ait pas encore été déflorée. Pénétrant plus avant dans son corps, je décidai de lui faire subir sa première saillie avant de la relâcher car il était trop dommage qu’une créature si bien faite ne connaisse pas la fonction à laquelle la nature l’avait destinée.

Malgré son étroitesse, ma tige était si fine qu’elle glissa en elle sans difficulté. Elle se crispa très légèrement de surprise, puis se relâcha en sentant que je ne la blessais pas.

Je continuai à frotter son bouton et son corps tout entier semblait répondre à cette stimulation. Je fouillai l’intérieur sensible de son intimité, la léchai de caresses douces et lentes, et je finis par trouver un orifice caché au fond d’elle. Elle tremblait comme un oiseau entre mes lianes et sa fleur intime se contractait régulièrement comme pour mieux me sentir. Je butinai doucement la petite fente opiniâtrement close, elle était très étroite mais elle semblait mener vers un recoin plus profond et plus chaud encore. J’achevai de répandre mes spores dans sa fleur, et lorsqu’elle en fut pleine, je partis à la découverte de ce petit trou caché.

Je poussai mon pistil contre la petite entrée, la fouillai doucement et commençai à m’y glisser. Ma douce proie se tendit complètement et cria. Je cessai ma progression et la laissai se remettre du spasme de douleur qui venait de la parcourir. Je la caressai de mes lianes et repris un massage lent de ses mamelles, de ses fesses et de son ventre. Je stimulais toujours son bouton rose et malgré sa légère crispation, elle se tint à nouveau tranquille.

Je repris la progression au fond d’elle, elle cria encore mais je n’arrêtai pas cette fois et elle tenta de se débattre. Je raffermis ma pression sur ses membres et explorai la cavité tendre au bout de l’étroit conduit, investissant sa matrice.

C’était incroyablement chaud et humide, la cavité était profonde et lorsque je l’eus sondée jusqu’au fond, je décidai d’y déposer mes spores. La douce femelles gémissais beaucoup et tremblait mais elle ne semblait pas blessée et je la manipulai avec un peu moins de précaution, comprenant que même si elle souffrait un peu, elle ne risquait rien et serait toujours en excellente santé quand je la libèrerais. J’exerçai donc de lents mouvements de va-et-vient à travers le col étroit qui était secoué de légers spasmes. La jeune humaine criait et pleurait toujours mais elle finit peu à peu par renoncer à se débattre et se laissa faire malgré les spasmes délicieux qui secouait son corps chaud. Je la caressai doucement pour la soutenir et la consoler. Sa matrice fut bientôt pleine de mes spores et le petit orifice était devenu plus large et se laissait plus facilement pénétrer.

Je finis par me dégager de son corps et elle soupira de soulagement. Je redoublai mes caresses. Elle était maintenant l’une de mes fleurs, chargée de mes spores. J’approchai alors mes étamines que je pressai doucement auprès d’elle. Les plus volumineux étaient aussi gros que son poing fermé et les plus minces devaient faire la largeur de son poignet. Afin d’accrocher les spores, ils étaient hérissés de pointes parfaitement souples, et qui ne pouvaient donc pas la blesser mais qu’elle ne manquerait pas de sentir. Elle paniqua en les voyant approcher d’elle et je la tins fermement pour qu’elle ne se blesse pas en se débattant. J’approchai la première étamine de sa fleur délicate, je la butinai doucement en frottant son entrée étroite, et je pressai finalement mon membre contre son entrée. Elle était vraiment très serrée et je dus forcer pour la pénétrer. Je sentis progressivement la membrane fine qui la fermait se déchirer. Tout son corps se tendit et elle cria beaucoup. C’était un délice de la sentir se débattre entre mes lianes, et de sentir l’intérieur brûlant de son corps enserrer mon étamine. C’était la première fois que je prenais une créature vierge et je n’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi agréable que cette adorable créature qui s’ouvrait pour la première fois à son devoir naturel.

Son petit conduit chaud était plein de pulsation et ses légers spasmes de douleurs me permirent d’enduire complètement mon étamine de spores. C’était très efficace et il me suffit d’une dizaine de va-et-vient fermes et profonds pour en avoir terminé avec cette étamine. Ma proie était tremblante mais ses cris étaient plus faibles. Elle semblait déjà épuisée.

Je me dégageai de sa fleur un peu moins étroite maintenant que je l’avais ouverte. Il y avait un peu de sa sève rouge dessus mais ce n’était apparemment rien de grave et après quelques secondes j’approchai une autre étamine que j’enfonçai en elle. Il était plus gros et elle tressaillit lorsque je forçai un peu pour la pénétrer. Mais une fois qu’elle fut habituée, elle ferma simplement les yeux, et se contenta de subir la fécondation en haletant doucement. C’était un spectacle sublime. Son corps qu’elle m’avait abandonné s’échauffait doucement au plaisir, elle était ouverte au maximum et pleine de moi. J’achevai d’enduire mon étamine de spores et la retira pour en enfiler une autre dans la fleur délicate.

Je profitai de son abandon pour approcher à nouveau un pistil que je glissai cette fois dans l’autre orifice, un peu plus bas, fermé comme une fleur plissée. Si je parvenais à utiliser ses deux cavités en même temps, je pourrais féconder plus d’étamine. Lorsque mon étamine se faufila en elle, elle rouvrit les yeux avec une exclamation de surprise. C’était une intrusion trop fine pour lui faire mal mais elle sembla anticiper sur ce qui allait suivre et elle se mit à se débattre et à crier alors que j’enduisais cette seconde fleur de mes spores.

Lorsqu’elle fut suffisamment bien enduite de spores, je retirai mon pistil, ainsi que l’étamine qui labourait tendrement sa fleur reproductrice. J’approchai deux nouvelles étamines que je positionnai chacun devant l’un de ses orifices. Elle cria, gémit et se débattit alors que la pénétrai dans ses deux fleurs à la fois. Le résultat fut majestueux. Elle était brûlante, très étroite, et ses spasmes musculaires enduisirent avec une efficacité incroyable mes étamines. Je n’eus que quelques va-et-vient précautionneux à faire avant de pouvoir à nouveau me retirer et la prendre avec deux autres étamines.

Elle pleura longtemps, puis finalement, comme elle avait plus tôt, elle finit par se calmer, à bout de forces. Elle se détendit peu à peu et la labourer devint parfaitement facile. Je continuai à la caresser, en particulier ses mamelles qui étaient très sensibles. Et j’approchai l’un de mes pistils de son bouton rose. Elle se cambra de plaisir lorsque je commençai à la caresser à cet endroit, et finalement, après un long moment, elle jouit voluptueusement en haletant, ses orifices épousaient la forme irrégulières de mes étamines qui frottaient ses parois intimes… J’aurais voulu faire ça tous les jours tellement c’était bon.

Mais je venais de féconder les dernières étamines et je me retirai finalement d’elle. Son corps était humide et chaud, elle était sensible et dilatée, c’était devenu une véritable petite merveille de la nature. Je la redéposai en douceur au sol, dans un lit de mousse. Elle mit un long moment à se relever. Elle semblait un peu étourdie mais n’avait pas l’air de souffrir.

Finalement elle se releva et s’éloigna. Je la laissai partir à regret, mes étamines encore trempées de son nectar. J’aurais voulu la retenir dans mes lianes, pour toute sa vie, abuser d’elle à toutes les saisons… Mais il fallait lui rendre sa liberté, c’était ainsi.

Les femelles humaines que nous capturions ne revenaient jamais, elles ne se laissaient pas attraper une seconde fois. Cependant, le lendemain matin, des pieds nus foulèrent la mousse couverte de rosée, et ma délicieuse petite proie apparut devant moi, posa ses doigts sur mon tronc pour le caresser, puis retira ses vêtements qu’elle abandonna à côté d’elle.

Elle s’allongea entièrement nue contre mon tronc et lorsque j’enroulai mes lianes autour d’elle pour la soulever, elle ne se débattit pas un instant, elle se laissa aller, accompagna mes mouvements, et ferma les yeux en toute confiance lorsque j’écartai ses cuisses.

Cet été-là, toutes mes fleurs donnèrent des fruits, et l’automne fut également une saison de grande abondance.

 

 

FIN

Par Necronomica - Publié dans : L'Herbier
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