Samedi 14 novembre 6 14 /11 /Nov 19:46

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- Il me faudrait une jeune fille vierge, avait dit mon maître un peu plus tôt.

J’étais alors en train d’apporter le thé dans la bibliothèque où il travaillait et un autre sorcier, un ami à lui venu lui rendre visite l’interrogeait sur l’une de ses études. Le maître avait alors répondu que ses observations avaient été très intéressantes, mais qu’à présent il lui faudrait une jeune fille vierge pour procéder à de plus nombreuses expériences.

Mon estomac s’était serré à ces mots. Mon maître était un alchimiste jeune mais reconnu pour son audace et son excentricité en matière d’études sur les plantes. Il possédait une multitude de plantes exotiques enchantées qu’il faisait venir de très loin et qu’il étudiait avec passion. J’étais son assistante depuis seulement quelques semaines, l’alchimie me passionnait mais je l’aidais toujours avec méfiance car ses plantes étaient dangereuses dans leur grande majorité et que je n’avais pas sa connaissance de la botanique.

Et cette information sur ses nouvelles expériences me glaça. J’étais vierge justement et quand il l’apprendrait, il risquait de me demander de l’aider. J’étais une hybride, mi-humaine, mi-félin, et la grande majorité de la population considérait les hybrides comme une sous-race. Il avait déjà été très difficile pour moi de trouver un maître qui accepte de me former, s’il me demandait de l’assister dans une de ses expériences je ne pourrais pas refuser…

Or, mon maître était très bel homme en plus d’être l’un des plus grands alchimistes de son époque, et si lui ne voyait que ses plantes, moi, je le voyais surtout lui. J’ignorais pour quoi il lui fallait une vierge mais je n’avais pas envie de l’assister dans une expérience potentiellement humiliante ou douloureuse avec l’une de ses plantes alors que j’éprouvais pour lui des sentiments un peu trop tendres. Il aurait été préférable que je perde ma virginité immédiatement, ainsi il ne pourrait pas me demander mon aide…

Il était spécialisé dans l’herboristerie et l’étude des plantes et des poisons. Sa serre était immense et certaines parties m’étaient même interdites à cause des plantes dangereuses qui s’y trouvaient. Je me souvins que l’une d’elles s’en prenait aux femelles dont elle sentait les phéromones… Je m’immobilisai dans le couloir. C’était ça ! Si la plante me ravissait ma vertu, mon maître ne pourrait pas m’utiliser pour son expérience !

J’hésitai un très long moment, errai sur le domaine du sorcier en me mordillant les lèvres et regardai anxieusement en direction de la serre. C’était de la folie. Et serait certainement une expérience désagréable. Mais il n’y avait pas d’autre solution.

Avec un profond soupir de détresse, je me mis en route et atteignis l’immense serre qui n’était pas surveillée. Je me vidai la tête, essayant de ne pas penser à ce que j’étais en train de faire, certaine que si je réalisais, je rebrousserais immédiatement chemin. Je cherchai un long moment entre les plantes exotiques venues des quatre coins du royaume d’Araën et finis par retrouver l’arbre que je n’avais pas le droit d’approcher.

C’était une sorte d’énorme roncier sans épines, aux nombreuses tiges de toutes les tailles, longues et vertes, et aux baies rouges presque aussi grosses que mon poing.

Je l’observai avec angoisse pendant un long moment, avant de me décider. Puis, les jambes un peu tremblantes, je finis par retirer ma robe blanche de travail sous laquelle j’étais entièrement nue. Mes seules protections étaient mes cheveux longs et blonds et le duvet qui recouvrait mes oreilles de chat. Partout ailleurs, j’étais imberbe, ce qui était une particularité des hybrides.

Je m’approchai précautionneusement du roncier, et m’allongeai en tremblant sur le banc de pierre qui lui faisait face. Les hybrides étaient connus pour leur beauté physique et je ne faisais pas exception à la règle. J’avais un petit visage fin, un corps délicat et tout en rondeurs, des seins en forme de pêches aux bouts roses et sensibles, et une vulve douce aux lèvres charnues.

Je regardai la plante et la vis peu à peu se mettre à bouger comme attirée par l’odeur d’une proie. Les lianes et les tiges se déroulèrent et s’approchèrent de moi lentement. Je les regardai faire avec inquiétude. Elles se pressèrent d’abord contre mon flanc et je me mis à frissonner. Je n’arrivais pas à croire que j’étais en train de faire ça. Je n’avais que dix-sept ans et j’avais jusque là réussi à épargner ma vertu. J’aurais voulu rester vierge aussi longtemps que possible et attendre de découvrir l’amour pour connaître les plaisirs physiques, mais il fallait renoncer maintenant et ici, car servir d’expérience au maître alors que je l’aimais était impensable.

Malheureusement, lorsque les lianes vinrent frotter la pointe de mes seins tendus, je compris que perdre mon pucelage ici avec une plante serait une véritable épreuve, difficile et très concrète. Un petit hoquet de surprise m’échappa et des lianes s’enroulèrent autour de mes poignets et de mes chevilles. Deux d’entre elles vinrent saisir mes cuisses et je résistai en vain lorsqu’elles soulevèrent mes jambes, les replièrent et les écartèrent, m’exposant totalement dans une position très gênante. Les lianes me caressèrent et m’explorèrent, ma respiration devint chaotique. C’était la situation la plus humiliation de ma vie.

La plante me fit replier les bras et les ramener de part et d’autre de mon visage, bien à plat sur le banc. Je fermai les yeux et expirai aussi calmement que possible,

J’étais de plus en plus effrayée quand une tige fine et souple vint écarter mes petites lèvres et remonta jusqu’au petit bouton rose qui ornait ma vulve. Je fermai les yeux de surprise et de plaisir quand elle le frotta délicatement. C’était tellement sensible et doux que j’eus un long frisson. Ma fente se réchauffa peu à peu et une sensation inattendue m’envahit. C’était bon. Je ne m’y étais pas du tout attendue mais c’était bon. Et je me détendis peu à peu. Une grosse baie vint se frotter à mes seins. Elle était d’un beau rouge vif, épaisse, longue et granuleuse. Son parfum était agréable et je commençai lentement à me sentir mieux.

Puis deux lianes frictionnèrent mes lèvres intimes, et vinrent enduire mon entrée d’une sorte de sève liquide et poisseuse. Lorsque je fus parfaitement lubrifiée, le gros fruit descendit entre mes cuisses et vint à son tour se frotter aux lianes qui l’enduisirent de liquide. Je gardai les yeux ouverts et le regardai descendre vers mon entrée vierge. C’était lent et intimidant comme la plus douce des tortures.

Je retins mon souffle quand le fruit commença à s’insinuer entre mes lèvres et à forcer contre mon hymen pour entrer en moi. Son diamètre imposant écarta mes chairs et je me sentis soudain très ouverte et très vulnérable. Puis le tiraillement devint douloureux et je me crispai. Je respirai plus vite et la baie poussa plus loin, avec une force que je n’aurais pas soupçonnée pour une plante. Je poussai mon premier cri de douleur en sentant mon hymen se déchirer, le gros fruit s’engagea dans mon intimité qui palpitait de douleur. Je me débattis un peu, tirai sur les lianes, tentai de serrer les jambes, de reculer mon bassin, mais rien ne fit, le fruit entra en entier, m’élargissant complètement. Ses bords granuleux frottèrent au fond de moi et achevèrent de déchirer mon hymen sur leur passage.

Lorsque la baie eut entièrement disparu en moi et que mon entrée se fut refermée sur sa tige plus fine, je poussai un profond soupir et sentis une larme rouler sur ma joue. Le plus dur était passé me dis-je. Je n’étais plus vierge, je ne risquais plus rien. Et puis le fruit bougea et je n’en fus plus aussi sûre. Je le sentis ressortir presque en entier, avec un râle d’inconfort, puis revenir en moi jusqu’au fond. Ce fut pénible, il était dur et très large, ses aspérités me torturaient avec la plus grande précision, l’une après l’autre, en me prenant de force.

Je n’avais plus l’énergie de me débattre et je fermai les yeux. Je respirai fort et vite, j’étais sensible, ouverte et poisseuse. Mon abandon me fit sentir plus intensément encore les mouvements de la plante. La plante me viola méticuleusement, avec tendresse et violence, mes muscles étaient douloureux, mes chairs me brûlaient, mais je m’habituai peu à peu à l’imposante intrusion et cela devint finalement moins pénible.

Puis, sans que je comprenne ce qui se passait, des lianes minuscules, fines comme de délicates mèches de cheveux, se faufilèrent en moi en se glissant le long du fruit. Je n’avais aucun moyen de les en empêcher et je me contentai de les regarder avec perplexité et une pointe d’inquiétude. Je les sentis pousser au fond de moi et je lâchai un gémissement.

- Ah tu es là ! s’exclama la voix bien connue de mon maître, un peu plus loin dans la serre.

Je sursautai, terrifiée d’être surprise dans un moment pareil.

- Ne venez pas, maître !

Mais c’était trop tard, il venait de contourner un massif en fleurs, et il apparut devant moi. Son expression de figea pendant une longue seconde. Je vis avec honte ses yeux glisser sur ma peau nue, sur mes épaules, mes seins, mon ventre qui se soulevait de peur, mes cuisses écartées et relevées par les lianes et descendre jusqu’à ma vulve offerte et profanée. Contre toute attente, il sourit.

- Eh bien, mais dans quel état est-ce que tu t’es mise ? Je t’avais dit de faire attention à ces plantes.

Il ne semblait pas furieux, seulement amusé de ma situation. Et même dans cette position pénible et humiliante, la seule chose que je remarquai était que le voir faisait battre mon cœur douloureusement.

- Je vous demande pardon, maître, gémis-je, aidez-moi à me libérer s’il-vous-plaît !

Il s’approcha et je tressaillis lorsqu’il posa les mains à l’intérieur de mes cuisses, de part et d’autre de ma vulve où le fruit épais s’enfonçait impitoyablement. Il m’ausculta avec intérêt et sans prendre garde à ma pudeur.

- C’est une plante qui devient dangereuse quand on la menace pendant la reproduction, me répondit-il, je ne vais pas pouvoir te l’enlever avant qu’elle termine. Il me fallait une esclave vierge pour ne pas contaminer les prélèvements et comme tu es ma seule servante vierge, je voulais justement que tu m’assistes dans mes recherches en la laissant te féconder. Je suis arrivé au bon moment on dirait !

Je poussai un petit cri en sentant la plante pousser au fond de moi d’une manière un peu douloureuse, comme si elle cherchait à s’enfoncer encore plus loin.

- Mais si tu m’avais attendu, je t’aurais donné une potion qui aurait rendu la fécondation moins douloureuse. Enfin tant pis, on n’a plus le temps…

Il palpa mon bas-ventre et un spasme de douleur me fit sursauter. J’ignorai ce que faisait la plante, mais ça faisait mal.

- Je vous en prie, maître ! l’implorai-je.

- Chut… Ne bouge pas et ne crie pas, il faut que tu te détendes. Les petites lianes sont des pistils, ils sont en train de se glisser dans ton col pour atteindre ta matrice et y déposer de petites graines, c’est ça qui te fait mal. Elles produisent un liquide qui va dilater ton col et elles vont l’élargir jusqu’à ce que tu puisses accueillir l’étamine reproductrice. Mais ne t’inquiète pas, il est à peine large comme ton petit doigt.

Bizarrement, je ne trouvai pas du tout ses explications rassurantes, au contraire. Je poussai un nouveau cri alors qu’un spasme me faisait sursauter. Je sentais maintenant distinctement les lianes se glisser au plus profond de moi, c’était douloureux et effrayant. Mon impuissance la présence de mon maître me terrifièrent et m’excitantes en même temps.

Le gros fruit s’était immobilisé, puis peu à peu, comme s’il avait fait son travail en m’ouvrant assez pour permettre le passage à tout l’appareil reproducteur de la plante, il se retira, un peu tâché de mon sang virginal et de mes sécrétions. Sa disparition ne fut cependant pas un soulagement parce que les lianes s’insinuaient au fond de moi et que je n’avais pas d’autres recours que de crier.

Mon Maître sembla avoir pitié de moi, et il pinça mon clitoris rose et tendu entre son pouce et son index, avant de commencer à le frotter. Le plaisir fut fulgurant. Je me cambrai un peu, terrassée à la fois de volupté et de douleur. Alors qu’il me donnait un plaisir immense, les lianes m’élargirent progressivement, elles forçaient mon col, roulaient dans ma matrice, minuscules membres qui me torturaient implacablement. La douleur m’empêchait de jouir et le plaisir me secouait de spasmes qui ne faisaient qu’intensifier la douleur de l’intrusion.

Finalement, les petites lianes se retirèrent et j’eus droit à de longues secondes de répit où mon maître ne cessa de me donner du plaisir. J’étais tellement affaiblie par ce que la plante m’avait fait que je m’abandonnai complètement à ces caresses pourtant très gênantes. Je fermai les yeux de bien-être, et quand je les rouvris, une grosse fleur rose aux larges étamines couvertes de spores s’approchait de moi. Ses pistils longs et fins s’étaient enroulés autour de sa tige pour la renforcer. Je gémis de détresse en regardant la taille de l’étamine, elle était longue et épaisse comme mon petit doigt, mais c’était déjà bien trop gros pour pénétrer mon col.

- Maître ! implorai-je à nouveau alors que l’étamine se glissait sans mal dans mon vagin. Je vous en prie !

- Détends-toi, c’est presque terminé, me répondit-il en caressant mes oreilles frémissantes.

L’étamine s’enfonça facilement en moi, jusqu’à atteindre mon col, où elle dut pousser pour entrer. Je la sentis se glisser en moi et ce fut une sensation tellement bouleversante que je ne parvins pas à crier. Je demeurai un peu stupéfaite, remplie, tiraillée et délicieusement avilie. La douleur reflua peu à peu.

- Voilà, l’étamine est en train de libérer ses spores, m’expliqua mon maître, les spasmes vont cesser.

Je fermai les yeux, soulagée de ne plus avoir mal. L’étamine s’enfonça un peu plus loin, je la sentais parfaitement et je me mis à haleter de bien-être. Mon corps se réchauffa et un liquide légèrement rose coula de mon intimité. L’étamine entama des mouvements de va-et-vient dans mon col. La douleur avait complètement disparu, mais j’étais beaucoup plus sensible à présent. Je gémis de manière incontrôlable alors que la fleur me labourait tendrement de son organe masculin. C’était une sensation merveilleusement douce, je jouis une première fois, en spasmes délicieux qui secouèrent mes hanches.

Puis les orgasmes voluptueux s’enchaînèrent jusqu’à ce que je n’aie plus la force que de soupirer avec impuissance pour accueillir l’ouragan entre mes reins.

Finalement la torture prit fin et l’étamine se retira.

- Tu as été parfaite, me félicita mon maître avec un sourire éblouissant. Cette plante féconde des femelles animales parce qu’elle vient d’une région bien plus chaude et qu’il lui fallait un petit cocon chaud pour déposer ses graines et les polliniser. Je vais récupérer les graines pour mes expériences et tu pourras te relever.

Il sortit d’une poche intérieure de sa robe d’alchimiste une longue pipette en verre pourvue d’un piston. Je l’avais déjà vu utiliser cet instrument pour ses prélèvements. Je sursautai quand il la glissa dans mon vagin car elle était froide, et un petit cri m’échappa quand il la poussa dans mon col. Le soulagement apporté par l’étamine était en train de se dissiper et de petits spasmes me parcoururent à nouveau alors qu’il investissait ma matrice sans me demander mon avis. Il tira ensuite sur le piston et la pipette se remplit entièrement d’un liquide rosé où flottaient de petites graines vertes.

- Parfait, c’est terminé, m’assura-t-il en retirant la pipette qu’il essuya à l’aide d’un chiffon et qu’il rangea à nouveau dans une poche intérieure de sa robe d’alchimiste. Tu as été une assistante merveilleuse.

Il me libérera des lianes en les déroulant une à une sans que la plante oppose de résistance cette fois, puis il m’aida à me lever et m’assura qu’il allait me donner une potion tonifiante pour me remettre plus rapidement. J’enroulai mes bras autour de sa nuque pour tenir debout, et encore grisée de plaisir et bouleversée par ce que je venais de vivre, je posai timidement mes lèvres sur les siennes. Il s’immobilisa un instant puis il m’embrassa à son tour, sa langue taquina la mienne et sa main se perdit dans mes cheveux.

Je soupirai de bien être, le corps cotonneux et épanouis de plaisir.

 

Nos lèvres se séparèrent et il me sourit avec une gourmandise surprenante dans le regard. Il ramassa ma robe, mais ne me la rendit pas, son sourire me laissa entendre que n’en aurait pas tout de suite besoin… Je glissai ma main dans la sienne pour le suivre jusqu’à son laboratoire en songeant que j’allais l’assister plus souvent s’il m’offrait de telles marques d’affection.

Par Necronomica - Publié dans : L'Herbier
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